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17 août 2005

The Island

islandDate de sortie : 17 Août 2005   

Réalisé par Michael Bay

Mon avis

Gros gros coup de gueule à ce film. Je viens de sortir de la salle, j’ai mal à la tête, j’ai mal aux yeux et je me sens crevée. C’est du n’importe quoi. Je pense ne jamais avoir vu autant de voitures explosées, de feu, moto, de marques, d’armes de toute ma vie. C’est simple : toutes les 2 séquences, il y a une marque style Puma qui vient nous attaquer le visage.

Je n’avais pas aimé Armageddon mais là ce qui est certain c’est que Michael Bay a signé son arrêt de mort. Sans aucun doute, le plus mauvais film de l’année !

C’est un mauvais réalisateur, d’accord,mais il y a des limites. Ce qui me chagrine, c’est qu’Ewan joue dedans. Je suis hors de moi. Non seulement il joue dans un mauvais film mais en plus c’est un pigeon. On nous sert Scarlett Johansson et Ewan McGregor seulement pour qu’on aille voir le film mais leurs rôles sont nuls. Je ne comprends pas comment ils ont pu signer pour jouer.

C’est rare, mais je vous le dis mes amis, n’allez pas le voir !!!

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Commentaires
U
serieusement ! jai beaucoup aimé mis c carémen CLAIR ke les voiture il en fon tro c afoooolannnnnn putin tu voi un peu c impréssionan c cool mé lapremiere foi kil se fon poursuive jé trouvé sa interminable ! c le seul truk ke jé a reproché sinon moi jvoulé pa le voir jémé pa scarlett (g chengé davi) pui finalemen je sui koumm agréablemen surprise.. :)
M
Jerry Bruckeimer a sûrement encore du mal à s'en soumettre ! Son poulain Michael Bay, le Dieu du blockbuster décébré qui en met plein la vue, le quitte pour aller réaliser un film chez Dreamworks !! L'ambition est donc clairement affichée : Bay veut évoluer et taper dans un cinéma plus réflexif afin de gagner ses galons d'auteur. C'est donc assez naturellement qu'il se tourne vers le script de The Island, film d'anticipation futuriste à base de clones. <br /> <br /> <br /> Bien entendu, le pape de l'explosion au ralenti n'a nullement renoncé à ses choix esthétiques habituels. Il le prouve dès la séquence d'ouverture : les filtres de couleurs assurent toujours une vision léchée du monde, la musique imposante nous balance des déflagrations à rythme régulier et la caméra fait plein de mouvement acrobatique pour nous retourner la tête. On aime ou on n'aime pas mais il faut reconnaître que le bonhomme sait mettre en boîte de belles images et qu'il peut même être considéré comme un génie du cinéma de masse. Jamais paresseuse, sa mise en scène recèle toujours une créativité qui hisse ses films à un niveau supérieur. On pense par exemple à ce plan séquence en accéléré et passé à l'envers qui marque le réveil d'Ewan McGregor au début du film. <br /> Ce qui surprend le plus dans the Island, c'est quand même sa première moitié qui est plus posée que d'habitude. Un montage moins frénétique, des dialogues plus pausés... On y trouve quelques éléments de script plutôt intéressants puisque le récit nous embarque dans une société où les individus sont conditionnés et rêve d'aller sur une île, seul endroit sur Terre à ne pas avoir été contaminé lors d'une mystérieuse tragédie mondiale. Bien entendu, le suspens distillé sur le premier acte du métrage ne débouchera sur pas grand-chose car tous les spectateurs ont déjà vu la bande-annonce et savent bien qu'on parle d'un monde de clones et que l'île n'existe pas. Néanmoins, on prend un certain plaisir à suivre l'éveil de conscience d'un Ewan McGregor cloné et qui ne cesse de remettre en question le monde qui l'entoure. Alors bien sûr, c'est vrai que Bay ne peut s'empêcher de pomper à droite à gauche. Son monde propre et aseptisé ne peut que nous renvoyer à Bienvenue à Gatacca ou encore à la blancheur cynique du THX 1138 de George Lucas ? L'utilisation des clips vidéos conditionnant l'être humain a déjà été vu dans Cypher et les araignées mécaniques ne cessent de nous renvoyer à Minority Report. Quand à Steve Buscemi, il nous refait le coup du gros dégueulasse rigolo. Pourtant, on accroche pas mal à cette société trop belle pour être vrai, avec ce top model présentant le tirage d'une loterie mystérieuse ou encore le design général des décors fourmillant d'accessoire ultra moderne comme la table de bureau/écran. <br /> <br /> <br /> Et surtout, Michael Bay parvient à surprendre ici et là par toute une série de scènes choc lors de la découverte progressive de la Vérité. On n'est pas prêt d'oublier cet accouchement cauchemardesque et surréaliste où une infirmière souriante vient arracher le bébé à sa mère avant de la tuer, ni la progression de petits capteurs s'infiltrant dans l'œil du héros ni la présentation des élevages de clones aussi surréalistes que délicieusement malsaine (les fœtus où des bouts de tissus de chair se forment baignés dans une lumière bleutée faussement rassurante). On a même droit à une utilisation pour le moins intelligente des effets numériques dans la découverte du monde extérieur, lorsque les deux clones en cavales s'aperçoivent que leur monde était virtuel et passe à travers un rideau d'images. Surprenant ! <br /> Malheureusement, ce qui avait si bien commencé va très vite virer au grand n'importe quoi. Le réalisateur aura beau déménager chez Dreamworks et revendiquer une approche plus sensible et subtiles de son Cinéma, il demeure un gros bourrin dans l'âme et va vite revenir à ce qui a fait sa renommée, à savoir les scènes à grands spectacles pour petits beaufs mangeur de pop-corn. Qu'on se le dise : la deuxième partie de the Island est une sévère déception qui ne s'intéresse qu'à ses courses-poursuites et ses explosions pyrotechniques ! Si la première fuite des héros est on ne peut plus logique, c'est aussi une bonne occasion de divertir un peu en faisant tout péter. La seconde scène de poursuite est déjà plus franchement discutable tant elle pourrait être supprimée du script sans que cela ne change quoi que ce soit à l'intrigue. Heureusement, elle est la plus spectaculaire du film et malgré ses emprunts à Minority Report pour le propulseur fusée et les autocitations à Bad Boys 2 (les roues de trains remplacent les cadavres mais c'est toujours bien jouissif), on ne s'ennuie pas... encore. Parce qu'après ça, il reste encore près de 40 minutes à meubler et là, le spectateur commence à trouver le temps un peu long. Il faut dire que le script se met à jouer la carte de l'incohérence à tout bout de champ ce qui a franchement de quoi nous énerver tant la rigueur du début commence à filer lentement entre les bobines. Passe encore que les héros survivent à une chute d'une centaine de mètre ou qu'ils arrivent à échapper plusieurs fois à un commando super entraîné. Mais quand les rebondissements semblent plaqués sans logique dans le seul but de rallonger la sauce, ça devient plus gênant ! Ainsi, on se demandera bien pourquoi tuer le supposé clone de Tom Lincoln au lieu d'arrêter les deux en attendant d'être sûr de qui est l'original. De même, impossible de ne pas redresser le sourcil gauche en voyant Jordan vendre des glaces ( ???) puis se faire arrêter en 2 secondes ( ???) avant d'être envoyée dans le laboratoire pour être tuée. Bien sûr, elle n'est même pas fouillée, ce qui permet à la jeune femme de planquer un flingue... Trop de bêtises nuisent à la crédibilité de votre blockbuster, Monsieur Bay ! <br /> <br /> <br /> On finit par se laisser porter par les belles images en regrettant sans cesse de voir un postulat de départ si prometteur être à ce point sous-exploité. Il y avait pourtant matière à quelque chose de très profond : la blancheur des costumes des clones qui reflète leur innocence, l'éternelle scientifique qui se prend pour Dieu, l'évasion final avec la lumière divine renvoyant les clones comme nouvelle évolution de l'homme, les questionnements divers sur ce qui différencie le clone de l'humain d'origine... Mais jamais rien n'est développé comme il se doit. Seul thème abordé avec plus ou moins de réussite : la métaphore de l'Amérique en filigrane, les clones remplaçant le racisme latent (en cela, même si le revirement du personnage de Djimon Hounsou est facile et moralisateur, il sert le propos) et les riches seulement pouvant accéder à la bonne santé. Même le tableau que fait Michael Bay du monde des clones nous renvoie en un sens à l'Amérique puritaine de Bush, les gens vivant dans l'ignorance la plus total, se satisfaisant de leur vie et la sexualité étant purement bannies. Dans le rayon des regrets, on pourra évoquer une excellente idées abandonnées 5 secondes après son évocation : le fait que les clones deviennent humains en perdant leur innocence. Ainsi, lorsque le clone de Tom Lincoln se fait passer pour le vrai Tom, il montre de clairs signes de méchanceté, largement soulignée par le visage endurci et sombre d'Ewan Mc Gregor.<br /> Tout l'immense potentiel du scénario se voit donc finalement annihilé par le réalisateur incorrigible incapable de renoncer à ses travers. On n'ira pas jusqu'à dire qu'on est surpris de sa part, mais on déplorera le manque de finesse dont le réalisateur ne fera visiblement jamais preuve malgré ses envies sincères (et illusoires, rappelons quand même que son prochain film pourrait être une adaptation des Transformers). La preuve que le maître de la tôle froissée est prisonnier de son goût pour l'esbroufe ? La présence pour le moins envahissante des sociétés soucieuses de placer leurs produits de marques à l'écran. Ca commence par des Puma en gros plans (c'est sûr que les clones ont vachement besoin de produit de marques), puis ça enchaîne sur les bienfaits de la X-Box et ça continue avec MSN. Très énervant !<br /> <br /> <br /> On aurait quand même aimé que Michael Bay arrive à la hauteur de ses ambitions. Avant, il faisait du cinéma beauf qui s'assumait (Armageddon : bonnard !), là, il livre un film apparemment intello qui vire au beauf. Pas sûr qu'on y ait gagné au change. Malgré tout, the Island est un film suffisamment élégant qui peut s'apprécier pour sa première partie prometteuse puis pour sa deuxième moitié bien bourrine. En quelque sorte, il s'agit du I, Robot de l'été 2005. Un film au pitch alléchant mais handicapé par de fâcheux impératifs commerciaux. <br /> <br /> <br /> NOTE : 4/6
C
Le seul point positif de ce film c'est les acteurs qui sont très bon de Djimin hounsou à Steve Buscemi et surtout Scarlett Johansson exellente dans ce role ingénue. Mais malgré ce superbe casting il y a le pire réalisateur de la Terre j'ai noté le vil Michael Bay.<br /> Un film qui aurait pu être exellent mais qu'il a gaché. Quant aux pubs le iflm a tellemnt de défauts qu'elle ne sont qu'anecdotiques (voir mon blog)
J
J'avais pas vu ta critique, ici ce n'est que le plus mauvais film de l'année, pas de ces 10 dernières !! :-)<br /> il se trouve que j'ai vu aucune pub pour ce film, je vis sur une autre planète, normal. Je ne vais pas dire ce que j'en pense ici, ça serait tourner en rond, il se trouve qu'il y a sans doute quelque chose qui m'a échappé...<br /> Mais perso je ne vois pas en quoi il y aurait plus de points positifs pour Mr & Mrs Smith que pour The Island, à part l'humour éventuellement. Mais dans The Island, il y a le sujet, et quelques points soulevés, ça m'a marqué et ça équilibre. <br /> "Je pense ne jamais avoir vu autant de voitures explosées, de feu, moto, de marques, d’armes de toute ma vie."... je referais alors une comparaison avec Mr &mrs Smith pour ce qui est de l'artillerie lourde. cependant j'avoue que Puma, certes, mais surtout Microsoft ont du mettre le paquet, c'est certain.<br /> Enfin, bon, la critique n'est pas unanime, c'est un fait.
B
mdr, bon ba heureusement ke je ne suis pas allé le voir alors !! jattendrai le dvd
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